Bienvenue Chez Vous!
Fondée au Moyen Âge par la population berbère sur place, Casablanca abritait une centaines de maisons blanches peintes de chaux. D'où le nom qu'on lui donnera par la suite (Casa Blanca signifie maison blanche en espagnol).
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Source : http://elaouadiahmed.free.fr/dreams-world/casablanca.html
Je suis loin d'aimer la politique et de ce fait d'en parler. Mais un e-mail reçu d'un ami m'a fait sourire (désolé pour mon sarcasme) parce que je le trouvrais trop vrai. Je vous en laisse seul juge :
Publié le 19-07-2006
On a tous la rage. Notamment quand on écoute la radio ou ouvre un journal.
Les journalistes, le petit doigt sur la couture, toute honte bue, nous prennent vraiment pour des imbéciles. Un ami nous livre, en forme de satire, sa réaction.
Le Proche-Orient pour les nuls
Depuis près de six ans, le gouvernement israélien tue par semaine entre 10 et 20 palestiniens, enlève les hommes et les femmes par dizaines, détruit les habitations, les champs et les infrastructures, enferme et empêche les habitants de Gaza et de Cisjordanie de circuler librement chez eux. Alors quand un groupe de résistants, "terroristes" pour les israéliens, "activistes" pour les autres, capture un soldat chargé de surveiller la grande prison à ciel ouvert qu'est Gaza, L'occident, l'Europe, la France et sa presse indépendante trouvent que c'en est trop pour Israël. Cet état "seule démocratie au Proche-Orient" est également le seul état à avoir le droit de tuer des civils, d'enlever des ministres et des députés élus démocratiquement, dans un pays en lambeaux seule démocratie sous occupation dans le monde.
Il y a quelque chose d'irréel dans ce monde libre voulu par Bush et Blair.
On se frotte les yeux et on tend les oreilles pour réaliser que c'est bien la réalité. Celle des bombes puissantes qui pulvérise les réfugiés libanais sur la route de l'exode. Celle d'une télévision qui choisit de ne pas montrer ce qu'on ne doit pas voir. On se dit alors, que nous n'avons rien compris. Le malaise qu'on éprouve devant notre poste de télévision vient de notre incapacité à comprendre les nouvelles règles du jeu. Ces règles sont certainement écrites quelque part dans les cerveaux des éditorialistes de Libération, du Monde ou de France Inter.
Il n'y a qu'à écouter et regarder ces journalistes, envoyés très spéciaux, tentant de nous vendre la version d'un conflit dont les forces en présence seraient symétriques, entre l'une des armées les mieux équipées du monde, qui en plus est soutenue par la première puissance mondiale et d'un pays dépourvu d'armée digne de ce nom.
Depuis le début de l'Intifada, les israéliens morts suite à des tirs de roquettes palestiniennes se comptent sur les doigts de la main. Autant dire qu'un Israélien a plus de chance de mourir de la foudre que victime d'une roquette du Hamas. Pourtant on a fini par croire que les roquettes Azedine Alquassam mettaient en péril l'existence d'Israël, état dit tantôt "hébreu", tantôt "démocratique, surtout quand ça l'arrange.
On croyait, nous les naïfs, qu'un homme valait un autre. On n'avait tort, preuve qu'on n'avait rien compris aux règles du jeu. Ce sont ces règles qui font que la vie d'un soldat israélien n'a pas de prix. Un soldat Israélien capturé, justifie que 300 arabes soient assassinés et qu'un pays tout entier soit dévasté, sans qu'on y trouve rien à redire.
Voici, en exclusivité, ces règles que tout le monde doit avoir à l'esprit lorsqu'il regarde le JT le soir, ou quand il lit son journal le matin.
Tout deviendra simple.
Règle numéro 1 : Au Proche Orient, ce sont toujours les arabes qui attaquent les premiers et c'est toujours Israël qui se défend. Cela s'appelle des représailles.
Règle numéro 2 : Les arabes, Palestiniens ou Libanais n'ont pas le droit de tuer des civils de l'autre camp. Cela s'appelle du terrorisme.
Règle numéro 3 : Israël a le droit de tuer les civils arabes. Cela s'appelle de la légitime défense.
Règle numéro 4 : Quand Israël tue trop de civils, les puissances occidentales l'appellent à la retenue. Cela s'appelle la réaction de la communauté internationale.
Règle numéro 5 : Les Palestiniens et les libanais n'ont pas le droit de capturer des militaires israéliens, même si leur nombre est très limité et ne dépassent pas trois soldats.
Règle numéro 6 : Les israéliens ont le droit d'enlever autant de palestiniens qu'ils le souhaitent (environ 10000 prisonniers à ce jours dont près de 300 enfants). Il n'y a aucune limite et n'ont besoin d'apporter aucune preuve de la culpabilité des personnes enlevées. Il suffit juste de dire le mot magique "terroriste".
Règle numéro 7 : Quand vous dites "Hezbollah", il faut toujours rajouter l'expression « soutenu par la Syrie et l'Iran ».
Règle numéro 8 : Quand vous dites "Israël", Il ne faut surtout pas rajouter après : « soutenu par les Etats-Unis, la France et l'Europe », car on pourrait croire qu'il s'agit d'un conflit déséquilibré.
Règle numéro 9 : Ne jamais parler de "Territoires occupés ", ni de résolutions de l'ONU, ni de violations du droit international, ni des conventions de Genève. Cela risque de perturber le téléspectateur et l'auditeur de France Info.
Règle numéro 10 : Les israéliens parlent mieux le français que les arabes.
C'est ce qui explique qu'on leur donne, ainsi qu'à leurs partisans, aussi souvent que possible la parole. Ainsi, ils peuvent nous expliquer les règles précédentes (de 1 à 9). Cela s'appelle de la neutralité journalistique.
Règle numéro 11 : Si vous n'êtes pas d'accord avec ses règles ou si vous trouvez qu'elles favorisent une partie dans le conflit contre une autre, c'est que vous êtes un dangereux antisémite.
Désole, mais on peut mieux démarrer le week-end, une blague suivra ;o)
Un professeur donnait un cours à des étudiants de première année en médecine sur les contractions musculaires involontaires.
Se rendant compte que le sujet n 'était pas particulièrement attrayant, il décide d 'alléger le ton et demande à une jeune femme au premier rang : "
Savez-vous ce que fait votre trou du cul quand vous avez un orgasme ? "
Et la jeune femme répond :
" Il est probablement au bistrot du coin avec ses copains "
Hier c’était la « Journée Mondiale de la Douleur » : qu’en savez vous ?
Date de publication : 12-09-2006
Source http://www.sante.net/
Fini les vacances, le boulot reprends. Pour beaucoup les vacances sont le mment idéal pour bloger. Moi je n'avais pas accès à Inetrenet, alors ...
Mais je vous ai pas du tout oublié, j'ai pensé à beaucoup de sujets, mais là je n'ai pas beaucoup de temps, alors ...
Petit bilan comme dirait certains pour ce blog :
Date de création : 2005-11-04 20:22:08
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et oui en vous abonnant, vous êtes sûrs de ne rater auncun article, alors n'hésitez lus
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Et parlez-en autour de vous même pendant vos vacances ;o)
Bises et bonnes vacances !!!
ET SURTOUT MERCI BEAUCOUP !!!!!!!!!!
La définition classique de la Préhistoire pose un certain nombre de problèmes, notamment en ce qui concerne les critères retenus pour son début et sa fin, mais aussi pour la datation de ces limites.
La Préhistoire commence avec l'apparition de l’Homme, or celle-ci est le fruit d’une lente évolution sur plusieurs centaine de milliers d’années, depuis un Hominidé indéterminé. Ce début varie selon les chercheurs en fonction des critères utilisés pour définir l’Homme, qui peuvent être anthropologiques, culturels voire philosophiques…
Le genre Homo apparaît avec Homo rudolfensis (-2,9 Ma[1]) puis Homo habilis (-2,4 Ma), deux espèces qui ont coexisté en Afrique de l’Est. Ces deux espèces avaient adopté une locomotion bipède et produisaient probablement des outils, deux traits qui ont longtemps été considérés comme propres au genre humain. Des découvertes plus récentes ont montré que les Australopithèques qui ont précédé avaient eux aussi adopté une locomotion partiellement bipède. D’autre part, les plus anciennes industries lithiques sont contemporaines de représentants du genre Homo mais aussi de Paranthropes, formes robustes d’Australopithèques, et il est impossible de déterminer quel est l’auteur de ces industries.
Selon que l’on considère que l’Homme est représenté par le seul genre Homo ou également par le genre Australopithecus, la Préhistoire débute donc respectivement il y a environ 3 Ma ou il y a environ 5 Ma.
L’utilisation de l’apparition de l’écriture, vers -3300 avant notre ère, comme critère marquant la fin de la Préhistoire est problématique à plus d’un titre :
La notion de Protohistoire a été introduite pour les populations ne possédant pas elles-mêmes l’écriture, mais qui sont mentionnées par des textes émanant d’autres peuples contemporains. Cette notion n’est pas entièrement satisfaisante.
La tendance actuelle est de se baser sur des critères non plus chronologiques (trop fluctuants) mais économiques et sociaux :
Voir le Tableau synoptique des principales cultures préhistoriques du Vieux Monde
La chronologie de la Préhistoire a commencé à être établie au XIXe siècle, à la suite des travaux des grands systématiciens du siècle précédent, Linné, Buffon, qui avaient largement fait reculer la date de l’origine de la vie sur Terre.
En 1820, Christian Jürgensen Thomsen ordonne les collections de son musée en fonction des principaux matériaux utilisés et crée une classification dite des « trois âges » :
Si les deux derniers sont encore couramment employés, le premier est désormais tombé en désuétude. On lui préfère selon les cas les termes Paléolithique et Néolithique, introduits par John Lubbock en 1865.
Les découvertes et les écrits (1846 à 1864) de Jacques Boucher de Perthes contribuent à faire accepter l’idée de la très haute antiquité de l’Homme.
S’inspirant de la chronologie utilisée en Géologie, Édouard Lartet propose en 1861 une chronologie fondée sur les espèces successives de grands mammifères dominants. Seul l’Âge du Renne est encore parfois utilisé pour désigner le Magdalénien.
En 1869, Gabriel de Mortillet propose une nouvelle chronologie de la Préhistoire, en 14 époques successives nommées d’après les sites où elles ont été décrites et où elles sont bien représentées ; si certaines ont été abandonnées, la plupart de ces époques sont encore utilisées aujourd’hui comme l’Acheuléen, le Moustérien, le Solutréen ou le Magdalénien.
La chronologie a également été précisée par Henri Breuil, notamment en ce qui concerne la position stratigraphique de l’Aurignacien.
La classification actuelle fait toujours référence à un certain nombre de périodes, de durées très inégales, fondées sur les particularités de leurs cultures matérielles. Ces catégories basées sur l’étude des vestiges durables (industrie lithique essentiellement, puis céramique et métallurgie) se sont beaucoup affinées avec les outils de recherche modernes.
Ces périodes ont avant tout une signification chronologique, voire une signification culturelle. Pour les périodes anciennes du Paléolithique, les différences culturelles entre les industries sont difficiles à mettre en évidence et les variations peuvent aussi être liées à la fonction des sites ainsi qu’aux types de matériaux utilisés.
Certains termes ont une valeur limitée géographiquement comme le Paléoindien et le Formatif pour l’Amérique du Nord, ou le Jomon pour le Japon.
Il existe d’autres catégories, de moindre durée, qui ne sont pas reconnues dans toutes les régions du globe ou par l’ensemble de la communauté scientifique. C’est le cas, par exemple, de l’Âge du cuivre ou du Chalcolithique.
- girafe
Les girafes n'existent pas c'est un coup monter...
- Histoire de couilles froides
Trois copines discutent, l'une dit :
- "Moi c'est bizarre, quand je fait une pipe à Paul, il a les couilles froides"
La seconde:
- "Pour moi c'est pareil quand je suce Bernard, il a aussi les couilles froides, et toi Marie ton Christophe c'est pareil?"
Marie répond :
"Moi j'ai jamais fait ça à Christophe, je vous le dirait demain"
................. Marie va faire sa petite affaire à Christophe...............
Le lendemain Marie retrouva ses copines avec un oeil au beurre noir.
Une de ses amies lui demande:
- "Comment t'as fais ça?"
- "Bah c'est hier après avoir sucé Christophe il m'a frappé, je lui ai juste dit qu'il n'avait pas les couilles froides et que se n'étais pas comme Paul et Bernard"
http://www.blague.info/
Hier a eu lieu une marche de protestation à Casablanca contre la guerre au Liban. Je devais y participer, malheureusement, une fête la veille, m'en a empêché (la grasse matinée du dimanche a été plus forte). Mais ma chérie y était et m'a dûment représenté ;o)
J'ai entendu à la télé qu'il y avait des milliers de personnes (même que les organisateurs ont parlé d'un million) mais le principal c'est ce que m'a rapporté ma chérie ; premièrement la manifestation était surtout reprise par des partis politiques, et les gens sacndaient leur attachement à HEZBOLLAH et HAMAS et non leur compassions avec les peuples et les familles des victimes. Il est vrai que la différence est de taille, alors qu'ne compassion prône le cessez-le-feu et un retour au calme, l'accclamtion de partis revient à réclamer evngeance et demander réparation.
Ma chérie a été également choquée par le nombre de barbus et femmes voilées. Eh oui! les marocains "religieux" sont ceux qui ont le plus manifestés (malgrè que nous ne les avons pas vu aux reportages télé). Cela veut dire deux choses, premièrement que ces "islamistes" sont plus actifs, la preuve en est que ma saoulerie de la veille m'en a empêché. Mais aussi que cette catégorie de personnes est de plus en plus présente au Maroc. Doit-on en avoir peur? Je ne pense pas, mais il faudra prévoir plutôt que nous autres citoyens "modérés" aussi passions à l'action et montrons que nous aussi, nous sommes citoyens actifs.
En résumé, je dirai comme toujours: ... je vous laisse la parole ;o)
Un Casaoui qui se pose des questions
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Carpe Diem !!!!