Jusqu'hier, ma seule question était : suis-je alcolique ou non ?
J'ai vu hier soir sur M6, une emission sur ce sujet. Ce que j'ai apprécié par dessus tout, c'est qu'ils ont commencé par montrer les efféts néfates de l'alcolémie et quà la fin ils ont quand même donné la parole aux défenseurs de l'apéro. Chacun pouvait se faire sa propre idée. Bonne émission.
Oui mais voilà. Tout me poussait à croire que je ne suis pas un alcolo : une saoulerie par semaine, plusieurs jours sans boire, ... Mais ce qu'ils m'ont rappelé (ou fait arriver en rélexion plutôt) c'est que l'alcolémie est le stade final. A chaque verre bu, des neurones sont massacrées. Mon identité s'est, au fil des bouteilles, estompée.
Alors, moi qui croyais que c'est mon retour au Maroc qui m'a réduit à une loque humaine, impossible à raisonner, je suis ammené à changer d'avis. A chaque verre, j'éprouvais (et j'epprouve toujours) un plaisir immense. L'vresse du corps par l'alcool permettait à mon âme de se libérer, à tel point qu'elle a du mal à y revenir.
Alors, à mon avis, je dois tout faire non pas pour arrêter de boire, mais déjà pour diagnostiquer mon état.
Et Vous?